CONCLUSION La politique de rémunération est aujourd'hui un outil clé pour la performance de l'entreprise. De plus, les éléments du " mix " rémunérations deviennent de plus en plus complexes, et diffèrent selon le but et les obstacles de l'entreprise. Désormais, rémunérer ne signifie plus seulement " payer " mais aussi attirer, motiver, retenir les salariés performants dont la fidélisation est indispensable à la réussite de l'entreprise, tout en sachant que le recrutement coûte cher. Pour être efficace, l'organisation doit mettre des systèmes de rémunérations en phases avec ses positions stratégiques par rapport à ses salariés et tout comme à l'environnement externe. En effet les employés doivent avoir un sentiment d'équité de leur contribution par rapport à leur rétribution. Pour arriver à ce sentiment de la part de l'employeur et de l'employé, l'entreprise met en œuvre plusieurs méthodes comme : le salaire de performance, l'entretien annuel de progrès et les différents outils de rémunérations individuels et collectifs. Ensuite pour créer une " perception d'unité", l'organisation va mettre en place des rémunérations collectives et variables que sont l'intéressement et les rémunérations différées. Aujourd'hui, les éléments extérieurs au salaire (intéressement, participation, actionnariat salarié) on prit une place significative. Effectivement, le travail en équipe peut apporter une réalisation plus rapide d'un but, ce qui amène un accroissement de la performance de l'entreprise. Cette notion de performance pourra ensuite constituer un avantage compétitif sur le marché et ainsi attirer et fidéliser les clients. Tout cela doit être fait dans l'aboutissement de rentabilité et de flexibilité pour l'entreprise. Mais, les entreprises pourront elles, dans les années à venir trouver le moyen ultime pour satisfaire au mieux ses salariés ? |